Du genre comique au genre sérieux, une parodie hassienne : « Strappar mi sento il cor » (Senocrita, 1737)

À l’acte I de la Senocrita, dramma per musica de Stefano Benedetto Pallavicino mis en musique par Johann Adolf Hasse pour la Cour de Dresde en 1737, le tyran de Cumes Aristodemo offre à Eurito, l’un de ses adversaires politiques, d’épouser sa fille Cleonice afin de sceller leur alliance. Cette union suppose que le tyranLire la suite « Du genre comique au genre sérieux, une parodie hassienne : « Strappar mi sento il cor » (Senocrita, 1737) »

Le catholicisme musical de Hasse : « Gloria in excelsis Deo » (Messa in mi bemolle, 1779)

L’hymne du Gloria, qui s’ouvre par le chant des anges qui apparaissent aux bergers à l’annonce de la Nativité (Luc II, 14), convient tout spécialement à la grande fête de Noël. Dans la liturgie catholique, le Gloria, après avoir été retranché de l’ordinaire de la messe pendant le temps de l’Avent, reparaît solennellement à laLire la suite « Le catholicisme musical de Hasse : « Gloria in excelsis Deo » (Messa in mi bemolle, 1779) »

Les troubles d’une héroïne : « D’orgoglio e sdegno » (Senocrita, 1737)

L’acte II de la Senocrita, dramma per musica de Johann Adolf Hasse sur un livret de Stefano Benedetto Pallavicino créé à Dresde au théâtre Am Zwinger le 27 février 1737, s’ouvre par une longue scène de dialogue entre les deux personnages principaux de l’opéra, Aristodemo, tyran de Cumes, et Senocrita (Xénocrite). Aristodemo rappelle à SenocritaLire la suite « Les troubles d’une héroïne : « D’orgoglio e sdegno » (Senocrita, 1737) »

La faiblesse du tyran : « Io bramo farvi liete » (Senocrita, 1737)

Créée à Dresde le 27 février 1737, Senocrita est le premier dramma per musica entièrement nouveau composé par Johann Adolf Hasse pour l’Électeur de Saxe après la confirmation en 1733-1734 de son recrutement comme maître de chapelle. L’opéra ouvre ainsi la première série d’œuvres dresdoises du musicien. Le livret de Stefano Benedetto Pallavicino se distingueLire la suite « La faiblesse du tyran : « Io bramo farvi liete » (Senocrita, 1737) »

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer