Le Golgotha et l’Arcadie : « Ah, se pura più nel core » (La Deposizione della Croce, 1744)

La liturgie du Carême n’invite pas seulement à la pénitence, mais également à la confiance en Dieu et à un amour plus vif du Christ. Cette dimension de la sainte quarantaine n’est pas oubliée dans les oratorios italiens de l’époque galante, notamment ceux de Johann Adolf Hasse. L’aria de Giuseppe (Joseph d’Arimathie) « Ah, se puraLire la suite « Le Golgotha et l’Arcadie : « Ah, se pura più nel core » (La Deposizione della Croce, 1744) »

Examen de conscience métastasien : « Se a ciascun l’interno affanno » (Giuseppe riconosciuto, 1741)

Si l’on associe communément et à juste titre Johann Adolf Hasse à Pietro Metastasio, il faut noter que la proximité entre les deux artistes apparaît surtout sur le terrain profane de l’opera seria et non sur celui, sacré, de l’oratorio : en effet, alors que Hasse met en musique tous les drammi per musica du poète saufLire la suite « Examen de conscience métastasien : « Se a ciascun l’interno affanno » (Giuseppe riconosciuto, 1741) »

Le prince esclave : « Non salii su trono aurato » (Senocrita, 1737)

Contrairement à l’idée reçue encore trop communément répandue selon laquelle l’opera seria n’est qu’une suite d’arias de concert vaguement reliées par d’insipides scènes de récitatifs, le dramma per musica témoigne d’efforts parfois minutieux de construction dramatique et de caractérisation des personnages. La Senocrita de Stefano Benedetto Pallavicino mise en musique en 1737 par Johann AdolfLire la suite « Le prince esclave : « Non salii su trono aurato » (Senocrita, 1737) »

Une charmante aria di paragone napolitaine : « La vaga lucioletta » (Attalo, Re di Bitinia, 1728)

Créé au San Bartolomeo de Naples en 1728, Attalo, Re di Bitinia, dramma per musica de Johann Adolf Hasse sur un livret de Francesco Silvani, témoigne de la rapide assimilation par le jeune compositeur allemand du nouveau style galant en vogue dans la cité parthénopéenne. Si le Saxon ne renie jamais par la suite lesLire la suite « Une charmante aria di paragone napolitaine : « La vaga lucioletta » (Attalo, Re di Bitinia, 1728) »

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